On a testé le Kobido, soin anti-âge du visage, prodigué par Sylvia, réflexologue dans le 20e arrondissement de Paris

Le kobiquoi ? Le ko-bi-do. Soit “ancienne voie de beauté” en japonais. Un massage ancestral du visage… devenu méga tendance, depuis que la presse en raffole : “Lifting naturel des Japonaises” (Elle), “alternative naturelle aux injections” (Marie Claire), “art martial de la beauté” (Sud-Ouest). La bonne nouvelle, c’est qu’on n’a pas besoin de quitter le 20e arrondissement pour tester, puisqu’à Télégraphe, Sylvia Haupt, en propose, à des tarifs plus doux que dans le centre de Paris.

“C’est un massage très précis, avec beaucoup de gestes rapides et dynamiques qui s’enchaînent et alternent avec des lissages plus doux. Cette alternance de tempo stimule les muscles du visage en profondeur et relance la circulation sanguine et lymphatique, pour un effet drainant, décongestionnant et lissant”, nous explique Sylvia. Parfait en cette rentrée, pour prolonger l’énergie et l’effet bonne mine de l’été.

Née à Berlin-est, Sylvia a grandi derrière le mur, et a assisté à sa chute en 1989. Arrivée à Paris pour y suivre son amoureux français et des études aux Beaux-Arts, elle a exercé dans le monde de la mode, pendant 20 ans, pour des bureaux de tendances et des marques. Une vie professionnelle stressante qui l’a encouragée à se reconvertir. C’est lors d’un voyage en Chine, qu’elle découvre la réflexologie plantaire, une révélation. “J’ai été impressionnée par cette précision de la lecture du pied, sur lequel le corps entier est représenté . J’ai senti un effet puissant sur moi, et je suis repartie d’un pas léger”.

Après s’être formée en réflexologie plantaire, abdominale et aux massages (énergétique chinois, californien, ayurvédique…) et avoir exercé – un premier temps – auprès de son cercle proche, Sylvia reçoit dans une chambre cosy de son appartement du 20e arrondissement de Paris. Laissée libre par ses enfants devenus grands.

Le plus souvent, elle accompagne des problématiques du stress, du “trop plein” personnel et professionnel …“la boule au ventre” (qu’elle a, elle-même souvent ressentie”). Elle exerce aussi bénévolement pour la Fondation Cognacq Jay à destination de malades du cancer (pour apaiser les angoisses et les effets secondaires des traitements), et se déplace à domicile chez les femmes enceintes qui le demandent. Et qui en redemandent. Sa note de 5/5 sur Google parle pour elle.

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