Au revoir “Là-Haut”, bonjour “La Colline”. Changement de nom et de propriétaire pour le lumineux bistrot du 10 rue Pixérécourt.

Si le nom change, on reste sur une référence à cet emplacement (de choix), sur les hauteurs de Ménilmontant, pas très loin d’un des points culminants de Paris, face au square des Saint-Simoniens. Ouvert depuis mi-septembre, le restaurant La Colline est la seconde adresse dans le 20e arrondissement de Jean-Baptiste Jay-Gallo.

Originaire d’Asnières-sur-Seine, à l’ouest de Paris, c’est lors de ses études (en direction hôtelière et restaurant), qu’il s’installe en colocation dans le 19e. Avant de trouver le local de son premier resto dans le 20e arrondissement. Là où il avait les moyens de le faire. C’était il y a 9 ans. Depuis, le restaurant Le Jourdain s’est fait un nom et une belle réputation. À défaut de pouvoir pousser les murs de ce bistrot de poche, connu pour ses tapas, Jean-Baptiste était en quête d’une nouvelle adresse.. au final deux fois plus grande.

Habitant Gambetta et père de deux enfants, c’est dans le 20e arrondissement que se sont concentrées ses recherches. La vie de famille a aussi influé sur l’esprit du lieu, qu’il souhaite transgénérationnel et ouvert aux enfants. “L’idée, c’est qu’on puisse venir tout au long de la journée, de 10h à minuit, pour lire le journal, travailler, se donner rendez-vous, jouer aux cartes, acheter une bouteille de vin…”

Et accessoirement se restaurer. Avec une carte courte, des produits frais, locaux, de saison, et des prix “qui se doivent de rester accessibles”. Le matin, place aux tartines et bols de granola. Le midi, comptez 18 € la formule entrée/plat ou plat/dessert, 21 € la formule entrée/plat/dessert. La carte, qui change chaque semaine, comprend toujours une viande, un poisson et un plat végétarien.

Le soir, les prix sont alignés sur ceux du Jourdain, avec un menu entrée-plat-dessert à 35 € reprenant les classiques de la cuisine française (tartare de daurade, blanquette de veau, ravioles du dauphiné, truite à l’oseille, profiteroles, baba au rhum…). Le tout accompagné de vins bio, en biodynamie ou nature. L’ambition ? En faire le café de village qu’on aimerait tous avoir en bas de chez soi. >>  10, rue Pixérécourt. Ouvert du lundi au samedi, 10h-minuit.

*Partenariat

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