REVUE DE PRESSE. Les charmantes maisons avec jardins de “La Campagne à Paris” font l’objet d’un article immobilier dans Le Parisien

Construit au début du 20e siècle pour loger des familles modestes, ce micro-quartier pavillonnaire est devenu l’un des plus cotés de l’arrondissement. Et pour cause, il est constitué de presque une centaine de maisons mitoyennes – dont de magnifiques meulières (aux façades rocailleuses) disposants de terrasses et de petits jardins. Ce qui lui donne un aspect “village”, vraiment insolite à côté de la très animée Porte de Bagnolet. 

Perché sur une butte, à l’emplacement d’une ancienne carrière de gypse, le lotissement a fait parler de lui ce week-end dans Le Parisien, qui lui a consacré un sujet immobilier : “Pourquoi les maisons de la Campagne à Paris séduisent… mais ne se vendent pas”. Réponse : les prix en hausse continuelle de l’immobilier parisien (à plus de 10 000 €/m2 en moyenne) font que ces maisons atteignent facilement le million d’euros.

Sauf que les acquéreurs avec un tel budget préfèrent souvent vivre dans les beaux quartiers, à l’Ouest de Paris, ou alors carrément en Province. Pour David Prazowski, de l’agence Sotheby’s Paris Marais, la Campagne à Paris, “c’est une niche qui correspond à la recherche d’une petite frange d’acquéreurs : ceux qui ont de l’argent, mais qui aiment vivre dans un quartier populaire”. Le portrait robot d’un ancien président de la République ?

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