Le guide culinaire branché, qui célèbre cette année ses 20 ans, dévoilait la semaine dernière sa sélection des meilleures tables.

Qui sont les lauréats dans le 20e arrondissement ? Chez qui aller dîner pour fêter dignement la réouverture des restos courant janvier ? Réponse dans le guide @lefooding 2021, commandable en ligne, mais aussi dans ce post, qui en reprend (pour la bonne cause !) quelques extraits.

Dilia (1, rue d’Eupatoria). “Dans cette bistrattoria aux accents campagnards (vieux parquet, comptoir ouvragé), l’autre soir, le menu à 49 € nous fila le parfait frisson”.

Le Baratin (3, rue Jouye-Rouve). “Comme chaque année, revient la folle rumeur qui annonce le départ à la retraite de Raquel Carena, bonne mère des bistrots, reine des abats. Et comme chaque année, on lâche un soupir de soulagement en poussant la porte de son bistrot, où rien n’a changé depuis 1987.”

Le Grand Bain (14, rue Dénoyez). “Le bistrot brutaliste d’Edouard Lax continue d’électriser les foules dans une ambiance plus proche d’un ring de catch que d’une dînette en ville.”

La Vierge (58, rue de la Réunion). “La Madone veille discrètement sur l’ordinaire de ce formidable troquet, mitonné par un duo d’enfer.”

Le Jourdain (101, rue des Couronnes). “Dans un 20e arrondissement devenu le nouvel éden culinaire de la capitale, le coquet Jourdain ferait presque office de chef de bande du haut de ses six ans”.

Les Pères Populaires (46, rue de Buzenval). “Rade déglingue avec fauteuils en cuir usés jusqu’à la corde, chaises d’école, téloche et radio vintage (…) où prendre un verre jusqu’à 2 du mat’ et profiter du menu déj’ à 17 balles”.

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